Camp Caporal Alain Mimoun, 30 juillet 2024.
Le camp Caporal Alain Mimoun représente un défit inédit à la mesure d’un événement sportif d’ampleur mondiale ! Dressé sur la pelouse de Reuilly, dans le Sud-Est de Paris, il est le plus grand camp militaire temporaire jamais installé, en France, depuis la Seconde Guerre mondiale. Construit dans des délais records, les 31 000 mètres carrés du camp Caporal Alain Mimoun sont sortis de terre en deux mois pour loger 4 500 militaires de l’opération Sentinelle lors des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Stratégiquement situé, il constitue un point d’appui à moins de 30 minutes de tous les sites olympiques. Immersion au cœur du village olympique militaire.
Depuis 2022, les armées françaises se préparent à apporter leur contribution à la sécurisation des Jeux olympiques et paralympiques de 2024. Tour de contrôle de cette contribution, le centre opérationnel interarmées (COIA) est basé à l’École militaire.
École militaire (Paris), 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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À la hauteur de l’événement, les armées ont renforcé l’opération Sentinelle en complément des forces de sécurité intérieure (FSI).
École militaire (Paris), 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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Le centre opérationnel interarmées (COIA) est un outil à la main du gouverneur militaire de Paris (GMP) pour assurer la conduite des opérations de sécurisation des JOP à Paris et en Île-de-France.
École militaire (Paris), 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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Plus de 10 000 militaires de l’opération Sentinelle sont déployés aux abords de Paris et dans Paris pour assurer la sécurité des JOP.
Paris, 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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Monté en 65 jours, le camp Caporal Alain Mimoun accueille 4 500 militaires. Une prouesse aussi bien technique que logistique.
Paris, 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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Le caporal Alain Mimoun a remporté la médaille d’or olympique du marathon de 1956. Blessé lors de la bataille du Monte Cassino en 1944, ce soldat a failli être amputé de la jambe. Incarnant la reconstruction des blessés de guerre par le sport, c’est en son honneur qu’a été baptisé le camp sur la pelouse de Reuilly.
Paris, 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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Le chef de groupe attend que les soldats se regroupent avant d’effectuer un briefing.
Paris, 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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Moment de briefing quotidien. Chaque jour de compétition, les armées apportent leur contribution à la sécurisation des JOP.
Paris, 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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Le sport n’est pas réservé qu’aux athlètes. Sur le camp, les militaires de l’opération Sentinelle s’entrainent tous les jours pour maintenir leur condition physique et psychologique.
Paris, 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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Rien n’est laissé au hasard. Avant chaque patrouille, chaque paquetage doit être complet et en bon état.
Paris, 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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Salles de sport, fan zone ou encore espaces de restauration sont autant de lieux de convivialité qui permettent aux militaires du camp Mimoun de vivre les JOP 2024.
Paris, 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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Entre deux patrouilles, les militaires du camp Mimoun peuvent suivre en direct les 70 disciplines qui composent les JOP 2024.
Paris, 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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Chaque entrée de chambre arbore le drapeau tricolore.
Paris, 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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Calqué sur la vie régimentaire, le camp Mimoun met à disposition de chaque militaire un lit picot, une armoire et une chaise.
Paris, 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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De jour comme parfois tard dans la soirée, les militaires du camp Mimoun adaptent leur rythme de travail au fil de la compétition.
Paris, 30 juillet 2024.
© Malo Harmant/ECPAD/Défense
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